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Mon book végétal

En cherchant un appart, des meubles, un travail, les cadeaux de Noël, d'anniversaire et en emménageant, je crains de n'avoir pas encore actualisé mon book végétal !

Souvenons-nous, le dernier avait été réalisé par ma charmante soeur (architecte d'intérieur à Rabat) de main de maître (ou de maîtresse, du coup ? Perso je TIENS à appliquer la parité linguistique) à l'occasion de ma convocation pour un entretien d'embauche en mairie, à un poste d'ouvrière en espaces verts.

Cet assemblage de mes notes, dessins et photos scannées envoyées rapidou à Marrakech* m'a fait un double effet kisscool : la plaquette, déjà, et puis une sorte d'hommage à mes délires végétaux, mes envies de vert, de cabane végétale, d'expériences potagères, d'associations de couleurs et de textures en fonction des conditions d'ensoleillement, au-delà de la simple nécessité de dépolluer l'air, un réel désir d'en savoir et d'en faire plus, et de partager mes infos en direct live et dans la faune des blogonautes, sites "spécialisés" et réseaux sociaux.

Outre le fait que l'impression des pages et le manque de reliure laissait franchement à désirer niveau présentation, j'étais déjà hors sujet par rapport au poste proposé, et nul besoin d'essayer vainement de m'intégrer dans cette branche-là, il y a d'autres manières de travailler dans et pour le végétal

Le temps étant gris, froid et mouillé, comme parfois dans cette région, je m'attelle donc à mes candidatures tous domaines, je vous rassure, ainsi qu'à la création de mon book végétal façon PDF de cette année 2013 fortement balèze, en incluant ma participation au Fil Vert et mes installations personnelles en extérieur et intérieur, bien que mes "travaux" soient déjà tout à fait en ligne par-ici et par-là. Il faut aussi que je finalise et que je commence, en fait, la réalisation de l'abat-jour pour la salle à manger, histoire d'avoir à regarder un truc plus sympa qu'une douille et une ampoule se balançant au gré du vent...

 

  

*merci, le web ! Forcément ça me rappelle les files d'attente de ceux qui n'avaient pas le téléphone, dont nous pendant les 6 ans qu'on y a habité, à La Poste d'Agadir, dans les années 80.

En plus de la mer, les cascades d'Immouzzer, la spéléo, le ski, le marchand de glace, celui de bonbecs et les balades (meuh non, je ne veux dégoûter personne ! ;-)), c'était une sortie fort distrayante et agréable que celle de se préparer à de pouvoir parler à la famille de France ! Désormais, comme ici, là-bas tout le monde est connecté, même dans les bidonvilles les plus brinquebalants...

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